Nos candidats : élections fédérales 2019
Les JLRG entrent en campagne avec des représentants d’une jeunesse active et bien ancrée dans notre canton.
Lors de notre Assemblée générale du 6 février 2019, les Jeunes Libéraux-Radicaux Genève ont désigné par acclamation six candidats pour les élections fédérales 2019. Ainsi, nous complétons la famille libérale-radicale déjà composée des six candidats du parti mère. Avec beaucoup de détermination et plein d’énergie, nos candidats représentent une jeunesses active dans leur vie professionnelle et politique. Forts d’une expérience politique dans leurs communes respectifs, l’objectif est d’assurer que la voix des jeunes militants soit prise en considération à Berne.
Nos candidats sont (par ordre alphabétique) :
Darius Azarpey (1993), Conseiller municipal de Collonge-Bellerive, Président Junior Entreprise HEG & Directeur exécutif adjoint de la Chambre de Commerce Iran-Suisse, a. Président des JLRG;
Fabien Grognuz (1989), Conseiller municipal de Meyrin, Économiste d’entreprise HES, Vice-Président des JLRG;
Lisa Maudry (1987), Jeune chef d’entreprise, bachelor de droit – Unifr;
Matthieu Steiner (1985), Conseiller municipal du Grand-Saconnex, Jeune chef d’entreprise, Architecte, Président du PLR Grand-Saconnex;
Maxime Provini (1992), a. Conseiller municipal de Vandœuvres, Jeune chef d’entreprise, Vice-Président des JLRG;
Niccolò Gori (1994), Conseiller municipal de Vandœuvres, en master en droit – Unige.
Darius Azarpey
Représentant à la chambre de Commerce Iran-Suisse
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Présente-toi en quelques lignes :
Je suis arrivé en Suisse âgé d’une dizaine d’années. Entre la ville de Genève et Collonge-Bellerive, j’ai appris à faire de l’engagement politique et associatif d’abord un vecteur d’assimilation, puis un devoir citoyen, conscient de la chance qui m’était donnée de vivre dans la plus grande des petites villes du monde.
Depuis près de huit ans, le PLR me permet de porter et d’appeler à porter les couleurs de la liberté et de la responsabilité.
De la présidence des jeunes libéraux-radicaux à la vice-présidence du Conseil municipal de Collonge-Bellerive en passant par le Comité directeur du PLR Genève, j’ai eu la chance de trouver au parti soutiens et famille. Aujourd’hui, j’occupe la fonction de Directeur exécutif adjoint à la Chambre de Commerce Iran-Suisse.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Demain, le frein à la hausse des primes ne sera qu’une étape.
La maîtrise des dépenses publiques, longtemps menée par le PLR, devra être assurée. Elle permettra à la Suisse de rester un pôle d’attractivité pour les contribuables et pour leur capacité d’innovation. La densification et l’étalement maîtrisé devront permettre la création de logements, enjeu majeur du développement de notre canton.
La combinaison du développement de l’offre de transports publics et de grands projets tels que la nécessaire traversée du lac représente à elle seule un vecteur essentiel de la lutte pour le climat. Je veillerai personnellement à continuer sans relâche cette lutte, qui par sa seule existence et par son impact sur la vie des générations à venir, rappelle fidèlement le credo de la campagne au Conseil National que j’ai dirigée en 2015 : Jeunes d’aujourd’hui, société de demain.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
L’année 2018 s’est achevée sur deux succès : la récolte de signatures pour l’initiative sur le don d’organes, par sa portée et par son aboutissement, a représenté et représentera encore lors de la campagne à venir un projet primordial. Le refus de l’initiative sur le mitage du territoire est aussi une grande source de satisfaction, tant la campagne menée a dirigé l’agenda.
Aujourd’hui, aux côtés d’acteurs du domaine médical, j’ai à cœur de faire plus que d’appeler au frein à la hausse des primes. Bonne ou seulement constructive, une solution devra émerger. Même imminente, son arrivée serait déjà en retard, tant les coûts des assurances maladies représentent une préoccupation majeure pour les Genevois. Je ferai de cette campagne sa source.
Fabien Grognuz
Economiste d’entreprise HES
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Présentes-toi en quelques lignes :
Je suis membre des JLRG depuis la fusion. J’ai suivi le parti de manière passive ces dernières années, et je désire m’engager de manière plus active, maintenant.
Je suis Conseiller municipal à Meyrin depuis décembre 2014. Je souhaite renouveler mon mandat en 2020, dans ma Commune. Je suis actuellement 2ème vice-président du Conseil municipal.
Fin décembre 2018, j’ai été élu vice-président et j’occupe au sein du Comité des JLRG, le poste de vice-président.
Au niveau professionnel, après des études au sein de la Haute École de Gestion de Genève, je travaillais, à la Centrale de Compensation, organe qui s’occupe des rentes AVS et AI pour les Suisses de l’étranger.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Je pense que l’un des enjeux principaux de demain, et l’accès à l’emploi des jeunes actifs. Pour que ces derniers ne commencent pas leur carrière professionnelle par un passage par le chômage. Il faut mettre en place des formations qui répondent aux besoins des entreprises. Et qui permettent à ces jeunes actifs de contribuer au développement de notre société et de s’y impliquer.
Et pour parler de sujets qui concernent l’ensemble de la population, nous devons réfléchir à un système AVS qui permettrait aux futures générations de retraités de vivre aussi bien que leurs aînés.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
Je pense tout d’abord, à la formation des jeunes, notre système actuel, ne valorise pas assez les formations professionnelles. L’apprentissage fait partie intégrante de notre système et éducatif.
Par ailleurs, il faut intéresser la jeune génération à la chose publique pour quelle-ci ait l’envie de s’investir pour les causes qui lui sont chers.
Lisa Maudry
Jeune chef d’entreprise, bachelor de droit – Unifr
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Présente-toi en quelques lignes :
Je m’appelle Lisa Maudry, j’ai 31 ans et je suis genevoise de naissance et colognote depuis près de 25 ans. J’étudie le droit et les mathématiques. J’aime le hockey et j’espère que Servette jouera les plays off. Depuis toute petite, je savais que je voudrais un jour représenter les couleurs du parti PLR. Et c’est avec une grande joie que je me présente pour ma première campagne au conseil national sur une liste des jeunes PLR. Je crois en nos valeurs, notre motivation et en notre engagement. C’est notre devoir de mobiliser les jeunes à voter, beaucoup trop d’abstentions dans cette population qui est pourtant l’avenir de demain et nous allons essayer de remédier à cela.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Je pense que nous devons repenser le système, fini le credo métro, dodo, boulot. Il faut que les gens puissent être mobiles, travailler depuis chez eux par exemple. Il faut trouver une solution pour un congé paternité qui soit intéressante pour les futurs pères et pour les PME. Continuer à promouvoir l’essence de PME et garder l’attractivité de notre pays pour les multinationales qui apportent de l’emploi et donc continuer une politique d’aménagement du territoire qui soit saine et productive. Et enfin, pour ma part, s’opposer à une entrée de la Suisse dans l’Union européenne.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
Porter la voie genevoise à Berne est un enjeu de taille. Notre canton a une configuration bien particulière par rapport au reste de la Suisse. Chômage surtout chez les jeunes et les plus de 50 ans, prime d’assurance-maladie trop chère, ou ne nous le cachons pas le problème des frontaliers. Mais il y a aussi des projets de plus grande envergure, je m’attache particulièrement à la formation et la recherche, qu’elle soit digne de notre pays. Nous avons des centres mondiaux de recherche (EPF, CERN, Université…) nous devons en faire un atout face au reste du monde et il faut suffisamment de fond pour ces derniers. La Suisse doit être le laboratoire du monde. Et elle en a la capacité.

Matthieu Steiner
Architecte
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Présente-toi en quelques lignes :
Né à Genève en 1985, j’ai toujours vécu au Grand-Saconnex. Après des études d’architecture à l’École d’Ingénieurs de Genève, dont j’ai été diplômé en 2006, puis obtenue un master en 2009, j’ai fondé mon bureau d’architecte en 2010 et suis toujours actif comme architecte indépendant.
Très tôt, mes centres d’intérêt et ma formation, m’ont appris que le savoir-faire et l’Indépendance d’esprit sont importants pour se confronter au monde qui nous entoure et en comprendre les enjeux.
Mon engagement politique émane du souhait de prendre part aux processus qui font avancer notre communauté. Depuis 2015, je siège au Conseil Municipal du Grand-Saconnex, dont je suis actuellement secrétaire du bureau. Et depuis 2017, je préside l’association PLR de la commune.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Maintenir notre cohésion face aux pressions extérieures et à la machine législative de l’Union Européenne. Les positions se crispent et notre parti se doit de défendre tant nos valeurs que nos intérêts. Sans cela, nous laissons le terrain à des adversaires plus extrêmes.
Il est aussi crucial de parvenir à remettre en question des modèles qui ont fonctionné, qui fonctionnent toujours pour certains, mais dont nous percevons les limites dans le contexte actuel. Par exemple « No Billage » qui n’a pas su montrer que réformer ne signifie pas détruire. Dans un autre registre l’initiative « Stop mitage » récemment combattu avec succès montre que des idées extrêmes apparaissent pour faire face aux problématiques sociétales. À nous PLR d’apaiser ces sentiments en trouvant des voies concertées.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
Rééquilibrer la politique d’accueil en favoriser la formation, l’intégration et la participation à notre économie. En contrepartie appliquer une fermeté face aux individus qui ne respectent pas nos valeurs.
Encourager l’entreprenariat et lutter contre l’assistanat étatique : pas plus d’État, mais mieux d’État. Accompagner les évolutions dont la digitalisation et adapter la législation face aux géants du web.
Lutter contre la parafiscalité telle que la redevance TV ou la taxe au sac. Les citoyens paient des impôts, il n’est dès lors pas cohérent que d’autres taxes viennent s’ajouter insidieusement sur des services de la vie quotidienne. Ces taxes sont contraires à la logique graduelle des impôts et une charge injuste pour les plus modestes.
Travailler à la réduction des déchets et la pollution chimique. Il n’y a pas que l’écologie climatique. Les déchets et les pesticides polluent ici et maintenant nos ressources alimentaires et en eau, notre environnement.
Maxime Provini
Buisness developper / entrepreneur
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Présente-toi en quelques lignes :
Je m’appelle Maxime Provini, 26 ans, j’habite en ville de Genève et je m’intéresse à la politique depuis la campagne municipal de 2011, j’étais candidat pour la commune de Vandoeuvres lors de cette dernière et depuis mon intérêt pour la politique n’a fait que grandir. Je souhaite représenter la nouvelle génération dans notre pays, je pense qu’il est essentiel d’avoir de jeunes élus à berne. Avoir de jeunes élus, c’est garantir que toutes les générations seront représentées au parlement et je pense que c’est essentiel pour le bon fonctionnement et surtout le développement et le futur de notre pays. Rappelons que les décisions prisent aujourd’hui seront les lois de demain.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Pour moi un des enjeux primordiaux de la Suisse, c’est la stabilité de notre pays, notre pays est stable ; chômage bas, croissance soutenue, innovation, recherche, etc. L’enjeu est clair : préserver cette stabilité. Pour moi, cette dernière est le pilier qui permet de travailler sur les problèmes structurels et de fonds tels que les primes d’assurance-maladie, le chômage des jeunes et de personnes proches de la retraite. Dans un monde aussi globalisé que le nôtre, il apparaît aussi évident qu’il est capital de favoriser et faire perdurer les échanges, l’ouverture et les bonnes relations avec nos voisins d’Europe et d’ailleurs. Un autre pilier essentiel pour préserver notre stabilité concerne l’enseignement, la Suisse est reconnue mondialement pour la qualité de son enseignement, il est primordial de soutenir celui-ci et de faire en sorte que notre pays reste dans le haut du classement.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
J’aimerais particulièrement que les jeunes participent plus à notre vie politique, j’aimerais trouver des mesures pour les mettre en avant, en organisant des débats entre jeunes élus et ancien élus par exemple. Il est aussi essentiel de faire la promotion de plateforme telle qu’easyvote.ch ou encore smartvote.ch, ces plateformes sont extrêmement ludique et permettent à des jeunes, et moins jeunes aussi bien entendu, de pouvoir se retrouver plus facilement dans notre univers politique. On a aussi récemment vu ce qui préoccupe ma génération : le climat et l’environnement. Je pense que la Suisse a largement les capacités de faire encore mieux que ce qu’elle fait aujourd’hui, maintenant, il faut réfléchir et trouver les bonnes mesures. Je pense qu’il faut également s’inspirer de ce que d’autres pays font de bien ou de moins bien et d’en tirer les conclusions. La Suisse est ambassadrice de beaucoup de choses dans le monde, pourquoi elle ne deviendra pas un exemple pour les défis climatiques ?
Niccolò Gori
Master en droit
Plus d'informations sur Niccolò
Présentes-toi en quelques lignes :
Je m’appelle Niccolò Gori. J’ai 24 ans, et suis en ce moment en train de terminer mes études de droit à l’Université de Genève, il ne me reste en effet que l’École d’Avocature à passer. Mes passions sont entre autres la musique, principalement celle des siècles passés, la pêche, le sport et surtout le jass.
Je suis engagé depuis le mois de mars de l’année passée dans le Conseil Municipal de Vandoeuvres, engagement que je prends très à cœur, et dans lequel je m’investis beaucoup. Je suis également depuis quelques années chez les jeunes libéraux radicaux, parti on ne peut plus dynamique qui m’apporte beaucoup, que cela soit au niveau humain mais encore idéologique.
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Quels sont les enjeux de demain pour la Suisse ?
Selon moi, le principal enjeu politique est de définir une ligne de conduite que se doit d’adopter la Suisse vis-à-vis des autres pays, et notamment, mais surtout vis-à-vis de l’Union européenne.
Nous semblons oublier que la neutralité suisse a toujours été et doit toujours rester un compromis, c’est-à-dire une action qui nécessite des concessions réciproques.
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Quelques idées que tu souhaiterais développer ?
Étant relativement impliqué dans la chose politique au niveau du canton de Genève, j’estime qu’il faudrait d’avantage accorder de l’importance dans les domaines suivants : la mobilité, l’expansion démographique des villes sur les campagnes, mais encore s’attarder sur l’ampleur que continuent à prendre les nouvelles technologies, comme par exemple les crypto monnaies, l’enjeu étant de trouver une réglementation adaptée entre sécurité juridique et attractivité du marché suisse.